Semaine 3 [Du 8 au 14 juillet] – Réécriture des Mercenaires du Temps
La semaine est mouvementée au niveau personnel.
Pas facile de trouver du temps pour l’écriture, mais avoir une deadline et des objectifs hebdomadaires demeure extrêmement motivant pour la poursuite de ce travail.
Je profite du camp NaNo pour tenter de compter le nombre de mots ajoutés. Une vraie galère, puisqu’il faut comparer entre l’ancien montant et le nouveau à chaque fois (je ne vois pas comment faire autrement). Autant dire que je ne mets pas souvent à jour le compteur du site dédié ! Je pense me limiter à une mise à jour hebdomadaire, et tant pis pour les statistiques quotidiennes du chalet. Après tout, en phase de réécriture, l’objectif premier n’est pas d’ajouter des mots coûte que coûte… Mais plutôt d’améliorer le récit, ce qui peut amener à faire disparaître des pans entiers de la première mouture.
J’ai utilisé le weekend précédent pour remettre à plat mon scénario, revoir la fin (qui ne me convenait pas). Le déroulement chronologique et les éléments historiques de l’univers des MT se retrouvent donc cloués au mur et s’étalent sur deux feuilles A3. Pour compléter cela, j’ai débuté un découpage scénique sur tableur ; bien que je sache où aller grâce aux frises chronologiques, il m’est toujours appréciable de pouvoir sauter d’une scène à l’autre et de ré-écrire de façon non linéaire : cet outil m’aide à conserver une trace du travail, savoir quelle scène a déjà été retravaillée, ce qu’il reste à écrire, à ajouter au récit.
Cette semaine, je m’attèle donc à la réécriture de deux scènes existantes, et à l’ajout d’une troisième (permettant de donner plus de place à un personnage qui était anecdotique dans la 1ère version des MT – j’en parlais ici). Ces scènes signent la fin du premier tiers du récit, la fin d’une introduction. Mes protagonistes quittent leur zone de confort. J’ai hâte de passer au second tiers !
Je garde aussi en tête l’envie de modifier ce titre, « Mercenaires du Temps », qui par ailleurs je crois a déjà été utilisé pour un autre roman… Le terme de trame va revenir souvent dans mon récit, car il est utilisé pour représenter la structure temporelle. Le double-sens de ce terme me plait, pour les analogies qu’il permet. Je pense conserver cette idée pour introduire de l’originalité dans le titre (l’actuel me sort littéralement par les yeux !).
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